Des yeux à vous fixer jusqu'à vous envoûter, On ne sait s'ils sourient pour vous hypnotiser Ou métal en fusion d'un regard impassible, Où vous vous évadez et jusqu'à l'impossible.
Le nez est esquissé, à peine d'un seul trait, Rendant plus que parfait du visage l'attrait ; Il a dû être peint par le pinceau d'un maître, Sur cette toile en bleu d'où il viendrait à naître.
Mais la courbe irréelle à damner même un saint, C'est celle de sa lèvre offerte en un dessin Qui viendrait pour vous perdre en sa divine touche Et vous ferait rêver à goûter à sa bouche.
On peut imaginer que se révèle ainsi, Une muse éternelle en Fa, Do, et en Si Notes de sa musique à écrire un poème Symphonie irréelle et source d'un "Je t'aime".