Surtout ne changez pas
Vos personnalités, aussi vos ressemblances,
Vous qui êtes pour moi, mes enfants, mes trésors,
Qualités et défauts, bien sûr vos différences,
Ne changez surtout pas, c’est ce qui vous rend forts.
Vous qui me donnez tout, et vos joies et vos peines,
C’est pour vous que je prie chacun de mes matins,
Et vous que je bénis qui êtes de mes gènes,
Comme priait mon père en imposant ses mains.
Vous qui m’avez donné si belles descendances,
Vos filles et garçons, enfants de mes enfants,
Ceux qu’anxieux j’attends qu’ils viennent en vacances,
Eux qui me manquent tant, chacun de mes instants.
Vous, mon éternité, le reste est éphémère,
Tout est insignifiant, vous êtes l’essentiel,
Vous restez, même loin, mon seul point de repère,
Vous éclairez mes nuits, étoiles de mon ciel.
Surtout ne changez pas, restez toujours les mêmes,
Vous êtes attachants, vous, devenus parents,
Vous qui êtes en moi, souvent en mes poèmes,
Vous restez à jamais mes tous petits enfants.
Jeudi 20 Juillet 2017
À Joanne, Michaël et Audrey… un jour de blues
