Regardez les passants, figés sous les palmiers, Car il fait bien trop chaud, l’air autour est humide, Pas un souffle de vent, on y est coutumiers, Lorsque l’été s’en vient, la chaleur est torride.
Mais tu dois te cacher car, sous ce ciel de plomb, Toi qui sais défier le quidam ou le nombre, En ta pure beauté, tu aurais cet aplomb, De narguer le soleil à lui faire de l’ombre.
Quel astre pourrait même avoir en sa splendeur L’éclat de ton sourire et cette peau de nacre, Ce nœud en tes cheveux et qui met en valeur Ta blondeur telle un Ange ou Princesse en son sacre.
Illuminant autour tu es femme au grand cœur, On vient chercher l’aura, l’or de ta gentillesse, Tu fais du bien à l’autre et c’est là ton bonheur, Car qui donne reçoit… es-tu Femme ou Déesse ?