Que cela passe vite, Audrey mon adorée Ça fait déjà un an que tu t’es mariée, Dans tes yeux le sourire et le plein de bonheur, Et mille battements au profond de ton cœur.
Près de toi Michaël, comme empli de lumière, Se tient debout, heureux, et à l’allure altière. Car, pour vous retrouver en ces instants bénis, J’ai sorti les photos quand D. vous a unis.
Au pied de l’escalier, que celle-là est belle, Vous regardez émus, cette scène éternelle Yaron près de Liron, deux frères pour toujours, Épaule contre épaule, à jamais vos amours.
Ton bouquet à la main, que tu es lumineuse ! Sur toi ta robe blanche éthérée, vaporeuse Te fait cette princesse au milieu de mes cieux, Toi qui es mon amour, prunelle de mes yeux.
Je garde aussi en moi la beauté de l’image, Quand levant à ton doigt l’anneau du mariage Vous êtes tous les deux, heureux sous la Houppah Puis quand Michaël tient, en mains, la Kétouba.