Une princesse est née au Peuple d'Israël ; Elle a pointé son nez en ce matin d'automne, Cinq du mois de Heshvan, chez mon fils Michaël, Si heureux dans sa voix au fil du téléphone.
Moi si loin de Paris, j'ai entendu ses pleurs, Au hasard d'un moment, dans les bras de sa mère, Ça en était magique, instants de purs bonheurs Et, une fois de plus, me revoilà grand-père.
Il me tarde bien sûr de voler dans les airs Pour être auprès de vous Michaël et Cécile ; En attendant ce jour, je vous offre mes vers, Ils me font patienter devant le temps qui file.
Dites bien aux enfants que je viens voir leur sœur, Que j'ai vu sa photo, qu'aux deux elle ressemble ; Il me tarde bien sûr de l'avoir sur mon cœur, Et puis, dans quelques jours, on sera tous ensemble.
Amen et encore Mazal Tov
Écrit le Mercredi 2 Novembre Et terminé (dernier quatrain), ce 4 Novembre 2011