A travers le miroir je vois ton regard Qui transperce le mien qui s’était éteint C’est un autre soir où je suis en retard Comme tous les noirs qui nuancent ce tain.
Cette douleur et cette larme dans la lueur Qui tombe en étincelle sous ma semelle Chahutent mon cœur qui déjà se meurt De si peu d’éternel au fond de ta prunelle
Encore une chance si tu brises ce silence De m’avoir à tes pieds à demander pitié Pour cette absence et aussi toute l’offense D'une goutte de rosée sur ta joue maquillée.