Dans mon cœur, il passe une femme et une seule! Elle plonge ses mains dans l'axiome de mes nuits Et m'étreint l'esprit de légères théories Comme l’effrontée épeire tisse les linceuls.
Je n'ai pas de place pour les faux théorèmes Qui jugent que l'age doit toujours être égal Je retranche parfois ces années tristes et pâles L'éternel résultât est immuable : je t'aime!
La secrète soustraction de mes tendres désirs S'additionne sans cesse à mes douces caresses Le quotient d'amour que, sur toi, je respire
Je l'arrondis souvent par ma pauvre sagesse. Euréka, j'ai trouvé, même les nombres le veulent Dans mon cœur apaisé, il n'y a qu'une femme et une seule.. Toi !