N’y a-t-il rien Dans tout ce rien Qui veuille enfin Céder aux vivants Le résidu des morts ? Leurs rêves abandonnés… Peut-être un authentique été… La vie encore !
N’y a-t-il rien Dans tout ce rien Qu’un autre point De feu, où l’éther Aussi noir qu’infini, Ni début, ni apogée Dirait l’espoir et l’unité, Son inverse et mon âme alarmée ?