Et pourtant, et pourtant, la patience divine, Atteint son paroxysme envers ces tyranneaux, Qui transgressent Ses lois ; répandant des fléaux, Sur un monde rempli de conflit et famine.
Toutes nos actions L’affligent,Le chagrinent, Il détourne, un instant, Ses yeux de ces tableaux, Et transfère à Satan le sort de ces bourreaux, Pour qu’il punisse, enfin, leur carrière assassine.
Nous assistons, muets, au meurtre d’innocents, Et par timidité, nous restons impuissants, Pour rectifier les maux d’un monde à la dérive.
Le Seigneur est un Dieu d’amour et de pardon, Il tend à Ses enfants une branche d’olive, Que nous devons gagner pour recevoir ce don.