Ma-ma, ce premier son que babille l’enfance, Ma-ma ce mot si doux qui remplit de bonheur, La maman qui l’entend au tréfond de son coeur, D’où jaillit son amour et sa reconnaissance.
Cet amour maternel est si plein d’indulgence, Il couvre, sagement, de son bras protecteur, Cette chair de sa chair, ce petit enjôleur, Et reste à ses côtés pendant son existence.
Maman, douce maman, merci pour ton amour, Qui nous suit pas à pas, pendant notre séjour, Tu règnes dans nos coeurs, même quand tu nous quittes.
Ce n’est qu’un au-revoir ; cet amour immortel, Nous tiendra tendrement entre tes mains bénites, Pour nous serrer la-haut, sur ton coeur maternel.