O, que j’ai tant aimé la vie avec entrain, Bientôt on entendra le glas morne et fébrile, Interrompre le cours de mon très long chemin ; Triste pourtant d’ouïr sonner le campanile, Ultime compagnon de notre état charnel, Après ce beau parcours, quelquefois difficile. Invariable est la loi pour tout être mortel, Retourner au foyer pour notre récompense, Est notre seul espoir d'un repos éternel.