Seul comme un goéland échoué sur la plage, Ouvert aux éléments, balayé par les vents, Les larmes sans répit coulent sur mon visage, Innondant les recoins de mes jours décevants. Terrible solitude, incroyable veuvage, Un jour suit l’autre jour, et tous les jours suivants Deviennent des embruns échoués sur la plage, Eternels goélands emportés par les vents.