Sous la broussaille de ses sourcils Ses yeux vert-de-gris Ont fait leur nid
Dans la campagne sage Les lenteurs de son visage Apaisent la soif des orages
Toutes les toiles qu’il a dressées Entre les cornes des vaches alpines Pour peindre les paysages Ruminent les couleurs purpurines De cette grandeur sauvage.