Ton regard s’illumine Parfois… D’une étrange lueur Qui semble s’évader D’insondables profondeurs Couronnées d’entrelacs Aux fines arborescences.
Mais je sais qu’il reste Au fond de tes yeux Des paysages de brumes Perdues dans le lointain Et d’antiques parfums d’images Décorées de grâces enfantines Qu’un seul de tes poèmes Saurait tirer de l’ombre Pour puiser la lumière.
Est-ce donc dans cet étrange ballet D’ombre et de lumière Que tu caches les secrets de ton âge Qui en dépit des années Grandissent et embellissent Aux sources de la vie ?