Amorzinho !
Mon tendre Amour ! (Trad. Amorzinho !)
J'ai regardé tes photos, et me suis senti petit, si petit .
Même ma poésie la plus éloquente,
Jamais n'arrivera à ta beauté,
Ni mon sourire remplacer le tien,
Qui sait si mon esprit sera à la hauteur,
Et même, quelle muse pourrait te rivaliser ?
Et pourtant, pourtant, nos cœurs sont pareils,
Derrière nos rires se cachent des plaintes,
Des souvenirs de déroutes amères,
La peur d'éteindre cette flamme douce,
Le désir oui, de partager un amour vrai,
Sentir force et pouvoir auprès du bien aimé,
Savoir que le chemin de la vie devient certain,
Ne plus jamais souffrir la solitude de l'âme,
Oui, mon amour, je n'ai que cela pour offrir,
Non pas les richesses qui passent de mains,
Non pas les voyages de plaisirs éphémères,
Non pas les réceptions et fêtes luxueuses,
Non, cher amour, je peux seulement t'offrir,
Une toute petite chose et c'est mon cœur,
Mais qui a un pouvoir défiant l'imagination,
Un don divin de changer la peine en rire,
De multiplier le bonheur comme les pains,
De sentir dans ta poitrine cette flamme sacrée,
La rose de l'amour qui s'enhardit et grandit,
Que même si tu doutes ou sens la peur,
Il te suffira de quelques gouttes de mon sang,
Pour retrouver la vaillance des Dieux de l'Olympe.
C'est tout cela, mon tendre Amour, que je voulais te dire,
Si j'avais l'audace d'un prince charmant,
Oui je chanterais ces espoirs sous ta fenêtre,
Avec des paroles douces au goût de miel,
Mais je ne peux que rêver de vous,
C'est délicieux d'imaginer quelque chose de si merveilleux
Même si je ne puis être que le fou de ma princesse,
Je récolterai les roses de chacun de ses rires,
Collectionnerai un trésor de Roi dans mon cœur.
