Le soir qui vient de la rive, Qui dans ta clarté s'avive, Reflète dans tes yeux, Une lumière où se lève L'absence étrange qui rêve La lueur pâle des feux, Que le sombre apte à frémir, Elève immense soupir, Quand tes regards sont pareils, Aux étoiles luminescentes, Qui s' élancent éblouissantes, Dans la blancheur des soleils. . . Le vent mobile de l'ombre, Dans la lumière qui s'ombre Soulève dans tes cheveux D'eau constellés de lointaines Lueurs qui se font sirènes, Et tes regards dangereux.