Voyage avec Hélène (cf 22 et 23) est un texte qui illustre à sa façon la licence poétique. Quand on est un peu poète dans sa tête… Même modeste, on a un pouvoir d’évocation qui fait qu’on peut croire (vouloir ?) aimer presque à partir d’un mot, d’une idée, d’une attitude, d’une photo.
Jeux poétiques, jeux amoureux ! Où se niche le merveilleux ?
On peut avoir toute sa tête et pour autant s’autoriser aux seules fins de trouver sa muse - de réenchanter le réel autour de quelqu’une et d’en être un peu amoureux - Va et vient du réel au fantasmé qui alimente l’imaginaire…