Le jour où tu voudras partir... Il te faudra bien réfléchir Car si tu voulais revenir Si tu te laissais fléchir Par mes mots nul avenir ! Nous pourrions là finir Dans l'absence la pire D'où l'on ne peut s'enfuir De celles bien sûr qui attirent Pour les mettre dans la cire Des quidams et leur sourires Des badauds qui soupirent Ce trou noir sans faire souffrir, Peu à peu calmement aspire Tout ce qui ici respire En poussant un gros rire Fou dérangeant rire ! Décourageant silencieux ! Si silencieux !