La dame trop triste avait les yeux bien sages Elle écrivait au crayon noir sur son visage Des larmes vives ; Puis le HO Rutilant De sa bouche au long pinceau sanglant Orbe muet, douloureux, écarlate
Les yeux enfin, sourires écarquillés Tout lâcher ; Fors la belle, s’énamourer Fouler le monde à coups de lattes Et puis arrive l’heure de repartir Tant de fardeaux d’ivresse à répartir
Oublier les heures filantes ou oisives Ne plus quitter le bois de la coursive Enfouir au fond, cette amère moisson S’abandonner aux plus fortes boissons Alias désormais fréquentable D’un monde clos, acéré, misérable.