Je n’ai désormais qu’une idée dans ma tête, Difficile de vous écrire dans ces conditions Ici cette tanière carrée, j’y tourne en rond ; Captif de cette idée, attente vaine, replète. Si c’est un peu la faute à la saison C’est aussi la faute à ce qui Nous lie Ma mie. Bientôt dans mon trop grand lit, j’irai Et en pensant à vous je m’endormirai Demain, au matin j’irai marcher Trouvant dans la neige Que sais-je ? Des signes pour ne pas désespérer L’espoir de bientôt se rencontrer Une provision de patience À profusion de la confiance Nos effusions futures, ambiance !