108 - l'infinité confinée d'un c.. fini! ou le "Lemniscate"
L'éditeur du site est partagé en deux bandeaux de texte: Le titre c'est fait ! Le plus facile ! "L'infinité confinée d'un con fini" qui sonne en harmonie avec le morceau électro; Lequel ressasse et tabasse les enceintes. Pour l'infinité je ramasse tout les Huit érigés et hop! je les culbute à l'horizontale À ce propos je n'ai pas mangé d'huîtres à Noël et maintenant je le regrette Pour l'infini, il ne faut pas d'huîtres plates les belons non non non(trois fois non pour l'électrozique) Car bien entendu l'infini a du volume et de la consistance Car bien entendu l'infini a de la place de la surface de la distance Il ne faut pas pour l'infini habiter la Lorraine (car là-bas Huit se dit ouit) et soudain j'entends "piq pit piq" Je regardes le reste de café, bol à réchauffer sur la plaque Le bol aurait-il déjà explosé ! Parfois j'suis un peu à côté de la plaquemine Ça me mine ! Mais non c'est le détecteur de fumée Je démonte, je contrôle et je teste la pile En réalité c'est une alarme impromptue de ma radio labile L'infini c'est très compliqué, ne pas se laisser distraire (88888888888888888888888888888888) Par les codes Alt, impossible pour mon type de clavier Par le copier-coller, ça ne marche pas non plus Et voilà pour une longue colonne d'infini Vous n'avez qu'a pivoter l'écran de 90 degrés Je sais, ça paraît un tantinet compliqué…
Mais je vais évidemment vous expliquer Nos ancêtres moustachus, les gaulois Avaient bien saisi le vertige sournois Qui vous prend En contemplant D'immenses plaines Silencieuses scènes Où le regard Hagard Cherche où se raccrocher Aussi, ils avaient planté Des menhirs redressés De ça de là en quantités Et fiers comme des huit Avec la douceur des huîtres Une manière de maîtriser Les vertiges de l'infinité