J’en suis là, assis devant l’œil du monde Attendant un message qui ne jamais vient Et je compte lilas 1, 4, 5, 6, la, si lilas Avec dans ma tête l’espoir d’une blonde C’est déjà presque qu’elle me convient Son avis ? mais son avis, ça ne compte pas ! Il suffit que je me décide de l’aimer Pour qu’elle s’en trouvât enchaînée Ça marche comme ça dans mon cerveau S’il se peut : Qu’elle ondule dans un cerceau !
Enfin on montera dans la grande roue Elle me dira alors :" j’ai mal au cœur, je crois bien que j’ai un peu peur "
-Rassure-toi, ma mie, le monde est tellement fou que rien d’autre ne peut nous arriver que de coexister, pourquoi ne pas s’aimer…