Jusqu’au crépuscule de mes jours Je m’exalterai de notre amour Tant heureux d’avoir vu le jour Ou naquirent tes tendres contours. Et puis plus hautes, ces belles ardeurs Qui dans l’élan ont caressé mon cœur Le refus à l’instant que rien ne meurt Te toucher pour garder tes saveurs. Un val accepta la symphonique balade De Platon , un pas de deux A Van-Gogh, toutes ces secondes D’amour et d’or, une pluie féconde Je vois le ciel qui sourit, ce témoin oculaire Du bonheur que cette douce lumière En mon âme , a gommé mes misères Je ris, je pleure, je vis… tu es là , enfin. Je vois tes lèv Ton sourire me montre le vert chemin Au milieu du val ou je serai, un matin Allongé au souffle du jasmin Ou paisiblement je souriais aux cieux, enfin.