Je m'allonge sur le lit, Invité par l'appel de la nuit, Pour une parenthèse dans la vie. J'attends que Morphée m'emporte Dans un monde qui m'apporte Des rêves de toutes sortes.
Dans ma tête les pensées Commencent alors à s'apaiser. Tel un marin, sur une mer agitée, Qui rentre au port pour relâcher, Je vais toutes les abandonner, Le temps d'un repos désiré.
Les images font place A des sensations fugaces. Voilà le sommeil qui m'enlace. Il n'y a plus que du brouillard. Le dieu m'offre son nectar. Ça y est, c'est le départ…