Au crépuscule bleu, la nuit te fane Azur ! Dans l’air silencieux se subliment les roses Étoile, tu parais de bien pâle parure ! À ce ciel enflammé d’où s’éteint toutes choses.
Les Constellations s’ajoutent une à une À la faveur des nuits de moite saison douce On entend respirer l’Univers ! Par sa bouche Il exhale des champs mystérieux de lunes !
Au lit sombre et léger, des lumières absentes, On voit venir au loin des entités errantes Hanter l’homme repus des vapeurs éthyliques ;
Affaissé sur son dos, il croit voir le grand Cirque : Cerbère, la Bacchante et le feu des Enfers ! Alors que, ce n’est que, l’Horizon qui flambe !