Il y a des douceurs qui réveillent Ou qui éveillent nos nuits. Mais la douleur surveille mon ouïe L'interne. L' intuitif. Moi j'attend la douce fée. Celle que je ne peux donner Mes doigts restent gonflés, Parl'horreur, celle qui réconforte. Dans le flou. Je deviens fou. Douleur me nuit, et me conduit, Inconfortablement, à la stupeur. Il est l'heure de reprendre conscience. Aucune foutaise à sa place. Je ne veux que la douceur, Pas celle des mots. Ils me restent que de pâleur A mes yeux,que nuisances. Je cherche la douceur des dames Ma fournaise restera douce A l'unisson de ma nuisance Je me ferais doux et fourbe. Fourbu de douceur. Telle est ma douleur.