ET nous voilà ce soir, tels des chiens, Se mouvoir nous rappelle notre chienne de vie acquise. Ne Reste que des voiles, même pas colorés! Et qui n'aiment pas le vent. Délurées telles des chiennes aux abois, et qui s'agitent Au moindre souffle, celui qui ne vous est pas destiné, Et nous voilà ce soir, tels des chats, Chatrés, comme des mâles impropres, Errant dans les âmes, qui vous donneraient de l'espérance, Et vous donne le châtiment de l'errance impure! Un pur arrivage, notre guerre s'installa. Et la guerre arriva.