J'attends l'ouvreuse des sombres portes. Dans l'ombre, en silence. Elle couve un doux secret, Que moi, seul approuve. J'y retrouve les sentiments, D'hier et d'aujourd'hui. Tous éprouvés par notre existence. J'attends ton souffle de velours, Et tes louangeuses paroles. J'avoue me perdre, Dans de simiesques loufoqueries, à force de louvoyer. Lourde, mais ton absence. Où-te trouves tu? Ma louve.