Tu étais assoiffé , nous t avons abreuvé de notre sang Tu étais affamé , nous t avons nourris de notre chair Tu étais bléssé , nous t avons soigné de tout notre corps
Tu as eu froid , des bâtisses , de nos vies , nous avons édi Déplacer des montagnes , de nos mains meurtries , nous l avo Tu voulais être en nous , de nos mentaux alliénés , t es ent
Tu es né sapiens , comme eux , le savoir tu crois transmettr Philosophe muet tu n es apparu qu'aux yeux de quelques fidé Qui en toi , ont trouvés asiles a leurs folies , en souriant
Si longtemps , aussi loin de moi puisse tu être mon grand Jamais tu n auras , même agonisant , mon dernier souffle d a Tu n as pas de fauscille , te laisserais pas maître de mes s
Mes larmes sont miennes , mes pleurs sont mes mots sur ce pa Ma demeure n est pas tienne , aucun coin je ne t es reservé Mon esprit est aux miens , nul plaisir tu auras , ne crois p
Tu as enfermé ce monde dans des textes anciens sans y parait Milles heraldiques t arborent , portés par le sang des infid Et finir cacher dans des sanctuaires ou les ames se morfond
Il en est fini de toi Car Je sais qui tu es
Hier immolé pour ces mots écris Jugés ou écarter le serais aujourd hui Aucune importance , ne vois aucun mépris Tu n as pas en moi trouvé ce qui te donne vie Mais tu n es pas un ennemi , mais la source git Du plaisir a la cosmogonie .