De mes facéties matinales, propice à l'égarement. Je m'enlise, mer de verre De mes chatoullis canibales, propice au roucoulement. Je m'efface de cette Terre.
Vers mes songes encore obscurcis, de l'écume ivre d'amour Et les morts se réhabillent ! Vers mes axonges encore ramollis, de l'écume d'un abat-jou Et les porcs se maquillent !
De mes jours traînant kermesses, amer Saindoux de Faubourg A l'aube, oui, toutes les folies apprivoisées ! De mes jours traînant tristesses, amer filou de Beaubourg A l'aube, non, rien ne s'est rien passé ...
