La chaleur de ton corps repose mon cœur qui palpite d'un Rythme rassurant La douceur de ta peau telle le velours me fait oublier le Passage du temps Chaque seconde passée à tes côtés est plus précieuse que Nos poids en argent Je savoure ta présence, me nourrit de ton souffle qui fait Rougir mon sang
Quand je t'embrasse j'ai l'impression que je viens Seulement de naitre Que jusqu'à présent ma vie ne se résumait uniquement qu'à Du paraitre Tes lèvres de miel ont réveillé l'humain qui dormait dans Mon être Tes bras ont apaisé mon tempérament de feu et atténué mon Mal-être
La tendresse de tes mots console ma fierté d'homme blessé Par les autres Les procès hâtifs qui nous sont fait s'évaporent lorsque Tes yeux me votent Je suis élu par ton suffrage visuel et même dieu semble Négliger mes fautes Alors à tes genoux je te dis mon amour, je promets d'être Ton eternel apôtre
Cependant une chose me trouble au milieu de tout notre Bonheur Savoir qu'un sombre jour ou le sang n'irriguera plus nos Deux cœurs Notre amour cessera par la force de la nature, mère de ce Malheur J'y pense, j'oublie et repense, puis sens ton regard Lumineux qui m'effleure
Et soudain une certitude béatifiante m'envahit et efface à Jamais ce mal Je sais que quand nos corps nourriront la terre comme les Feuilles automnales Qui alimentent la glèbe et pourrissantes dans l'humus des Forets boréales Notre passion impérissable survivra à la mort, au désert et Au-delà des étoiles