Personne qui ne verra Et ce parce que je tais Les envies, les désirs Et les heures à venir. Nul qui ne saura Et ce parce que je vais Les nuits froides qui transpirent D'un effort qui se meurt.
A tous ceux qui passèrent Qui fermèrent les yeux. A tous ceux qui s'enfuirent Prétextant que les cieux.... A ceux qui me saluèrent Toujours le leur rendais. A ceux qui m'enlacèrent Nourrissant mon mépris : Je n'existe déjà plus, Jusqu'à bientôt je vis.