Constamment j'attends l'ivresse du néant pénétrer dans ma chair, et ensorcelant mon souffle impatient. Impatient de ne plus s'astreindre à respirer. J’idolâtre l'opportunité de m'élancer dans le vide et sa consolation. Ainsi, je songe à ne plus rien avoir à être, et voudrais flotter dans l'inertie et la fixité.