Chaque chose doit être ouverte. Ouvrir une porte est facile mais ouvrir son cœur parait tache plus difficile. Pourtant, l’Individu est la clé. Mais il ère, las, dans la nuit du jour, bloqué par son physique, souvent trop mécanique. Quand le cœur est lourd, l’homme meurt, écoutant chaque fissures qu’il ne connaissait pas de lui, et espère que son fils aura le don de les occupés. Le progrès, les générations font naître l’idée de s’en sortir, l’instinct de mort perdure malgré l’envie de s’en nourrir. Le temps, ignorent, doit s’oublier pour se laisser fondre dans la poésie infini, là ou personne ne m’attendait.
J'écris pour pouvoir communiquer avec mon esprit qui sait si bien parler.