Elle nous ronge le cœur petit à petit Ne laissant que l’ombre d’un vide à notre vie Elle nous empêche de profiter de tout ce qui nous est donné Certain que rien ne peut nous être adressé Elle nous enveloppe d’une panique étouffante Se sentant, pour tout, impuissante
Pleurant chaque soir notre malheur Nous ignorons que d’autres peuvent la vivre ailleurs Voulant remédier à ce mal entêteur Qui nous harcèle d’heure en heure Nous souhaitons, seulement, que tu nous reviennes Pour dissiper ce qui est appelé... peine