Lorsque la solitude pèse plus lourd que ma seule présence Et que l’inquiétude s’acharne à mes dépends Que la peur s’empare de mon potentiel Et que l’impuissance me fait défaut Alors subtilement, je sens ta douce et si rassurante présenc M’envelopper de ton charme si ensorcelant Te voilà, je te sens, vent
Lorsque la peine m’aveugle tel devant l’absence Et que le désespoir me cloue au sol Que le chagrin bouleverse mes sens sans s’expliquer Et que la tristesse se loge dans mon inconscience Alors je te sens, ma douce amie Devenir complice de mes larmes Te voilà juste à temps, pluie
Lorsque l’incertitude m’empêche d’avancer Et que se questionner devient quotidien Que l’insomnie devient conjointe de mes nuits Et que l’attente se montre peut-être trop pesante Alors auprès de toi, je viens rechercher cette sagesse Qui s’écoule de ta calme et sereine ivresse Te voilà, si imposant que tu sois, océan
Mais, lorsque sa présence si magique soit-elle Prend le contrôle de ma vie si soudainement Et que le bonheur qu’elle procure dans son ignorance M’aveugle si sottement Même toi vent, toi pluie et toi océan Ne pouvez combler ce sentiment d’allégresse Qu’il procure, ma fois, si généreusement Le voilà enfin, amour