En Mars, la capitale d’Aquitaine est belle , Quand la lumière se fait plus intense, Et qu’elle prend des airs de Florence ; Bordeaux à flâner , à travers les ruelles, De Saint Jean ou de Saint Pierre ; Ou regarder musarder la Garonne , Depuis les quais ou le pont de Pierre .
Que de souvenirs qui coulent , Comme le fleuve vers l’estuaire, En cette fin d’hiver , Alors que je foule , Les pavés de St Pierre.
D’une jeunesse étudiante , Si courte et passée Le souvenir me hante . Sur cette histoire , penché , Pour retrouver les traces De ces moments fugaces , De mes jeunes années .
Rue des Argentiers, Presque rien n’a changé , L’immeuble de pierre , Semble m’inviter A retrouver la chambre De mes vingt ans .
Bordeaux , la belle endormie , Va bien à la nostalgie , De ce moment , Entre hiver et printemps. D’une ville ou le port de la lune Se souvient d’un passé de fortune ….
En Mars, la capitale d’Aquitaine est belle , Quand la lumière se fait plus intense, Et qu’elle prend des airs de Florence ; Bordeaux pour flâner , à travers les ruelles, De Saint Jean ou de Saint Pierre . Ou regarder musarder la Garonne , Depuis les quais ou le pont de Pierre….