Voici sur l'Olympe insolente, Majestueuse et si hautaine, L'enfant du vent. Il peut survolant l'indécente Et fragile âme humaine Prendre l'instant. Contemplant les âmes aimantes De ces belles et jeunes amantes Qui dans l'arène, Dressées contre la bête arrogante Tuent de leur épée flamboyante L'amant qui traîne, Vaincu.
Tu peux sourire Enfant, Tu connaîtras bientôt Le cœur pris dans l'étau La douleur des amants.