D'un écrin montagneux où vertu se délace, Sur un site ombragé dominant l'horizon, S'étirent deux jardins, tous deux emplis de grâce, D'un flanc d'une colline à forte inclinaison.
Le long d'un escalier un torrent prit sa place, Pour caresser la roche et ses exhalaisons ; L'eau lentement s'écoule et y laisse la trace Des ans perpétuels aux multiples saisons.
Qu'il est bon de s'asseoir au coeur du paysage ! Et du bout de ses doigts y toucher le feuillage Des broderies de buis et celles d'ifs taillés.
Qu'il est bon s'attarder en ce lieu romantique, Contemplant les miroirs et vasques travaillés... Qu'il est bon de sentir ce parfum poétique !