Des larmes amères tombent évidemment Quand on voit le chagrin des enfants délaissés Ces pauvres victimes crient apparemment Leur désespoir mêlé d’un destin agacé
Surélevons nos voix, agissons fortement Contre cet abandon souillé de trahison Parsemons leur chemin par la foi sûrement En répandant l’amour orné de floraison
Surtout ne pleure pas crois au ciel ardemment Sans doute un jour quelqu’un embrassera ton sort En t’offrant la chaleur de son cœur tendrement Pour qu’elle rétablisse en ton âme un confort
Et ceux que le chagrin frappe solidement Ne perdrez pas l’espoir priez le bon Dieu Regardez les oiseaux groupés abondamment Dans l’ample et bel azur d’un vol harmonieux
Et la valse des fleurs dans l’herbe allègrement Amenant aux beaux champs les légers papillons Assouvira ton âme et tes yeux doucement Te donnant comme bonheur un joli pavillon