De tes yeux à mes yeux, circule tant d’amour, Qu’aucun mot existant ne saurait le traduire ; Alors c’est du regard qu’on ose sans détour, Faire l’aveu des sentiments qu’on ne sait dire.
J’y perçois ton incommensurable fierté, Telle, que je crois être le maître du monde. J’y prélève mes repères, tes qualités. Lis, mon admiration quand ton âme me sonde !
Papa, je te dois tout : ma vie et mes valeurs Et mon cœur se révulse déjà de désarroi, Pour quand viendra le jour de la bien funeste heure Sans t’avoir dit « Je t’aime », au moins, rien qu’une fois.