Le ciel tire sa couverture de nuages noirs, L’obscurité s’étend, les étoiles scintillent, Lueurs d’espoir dans un ténébreux soir, La Lune s’éveille, mais jamais ne se maquille…
Et elle garde ta main Tu sens sa caresse sur ta peau Tu lèves les yeux vers son visage de satin Et un frisson te parcourt le dos.
Ses yeux enfantins Brillent comme la rosée du matin. Deux émeraudes pures, Pures comme le bleu de l’azur.
Et vos regards se croisent, Tu ne peux te détourner Tu sens que tu es prisonnier Et que tu ne pourras jamais t’évader.
Perdu dans une voie lactée Où les étoiles sont tes pensées, Tu sens que le sang monte à tes joues Et que tu deviens simplement fou…
…D’amour !
Oooh…Ses lèvres sont telles une mer De roses dans laquelle tu ne souhaiterais Que pour toujours te noyer !
Oooh… Ses yeux sont tels deux émeraudes vertes Brillantes, que tu ne voudrais Qu’éternellement fixer !