Châtrez l'absurdité, mes freluquets capsulaires Ostie coquette des vierges palefrenières Aux abois les chiens allaités La pilule se boit comme une verge tarentule
Dans les calcaires jardiniers Les dents ressacs printaniers Inondent de besaces offertes
Tartuffe joie de la folie, sur des rêves libres Se tartine des résines miroitantes Miaulant des miasmes falsifiés Les mots se mangent comme des vers serviles.
Sans sel raquant dégénéré Les sans croquants régénérés Digèrent des vomis aux fraises
Castrant l'arlequant Le coléoptère branlbaquant saisis sa pierre barbotétante Il la jette à la figure des singes moqueurs en rigolant D'une micropisse singulière Il trace sa sillure Dans les crevasses somnifères Obliquant les obliques Des étoiles satellites Obscurcissant l'obélisque De ce temple pantagruélique.
La chatte remontée sur des chantres bontés Il saisis sa chance pilonnée Par des passes allongeantes En des lieux miroités Sur les blés morts de l'ignorante naïveté Naquit le glaive tant fantasmé Plumé de milles fiertés Enchanté par les nuées Zozotant le sirop larcin Pulvérisant les astérix Sur des billots séquoiés Chacahutant l'atlas fatigué Il lui fait cracher ses venins enfouis Dans ses narines polyesters.
Ô joies de l'absurde Le monde n'est que de toi Je t'en prie balance ma bouscule boussolante Éclaire ma lanterne ternie lancinante Donne la joie aux mots calcinés Fredonne des éclairs triomphants Dans les cœurs emboisés Fraternise les viscères des boucs cornifientant Leurs trachées exhibées Sur ces bleus soldats plombés Au gré des guerres ramifiées Sur les croix brandies Dans les coliques collectives Les cantines privatives ou les politiques franchises De ces traders customisés Eteignant les micromètres fourmiliers de ces absurdités.
Ô gardiens des terriers Filez les filles envenimées Atroposissant les clothos lachésifiées Frelonez le monde sans tiroirs d'aciers Aux abords des terriers Rameutez les rabougris enfilés Frelotant des cocktails lénifiants Roulez les colibris fantasmant La tornade torsadée Au gré des bourrasques fétichiantantes Sur des eaux séantes décalquées.
Coulant le trop plein Je finis ces trop rien Couchant les pots pleins Je croulis le pantin Et ses biens plus poil que saint.