Sur l'enclume sanguine où la matraque frappe les dents des mangeurs d'éther se sortent des chairs Pour mordre les lueurs de lune qui s'échappent Vers et pour la guerre, d'Ares à Jupiter
Chevauchez, chevaliers des misères inaptes Vers les caveaux noirs où se pendent les vies chères Là où les jaunes idéaux côtoient l'écharpe Rouge et coite des opportunismes amers
Ventriloques morts de vos hymnes périmées Séculiers du sort et de vos mains emmêlées Sur des bûchers répétés, oyez le tocsin
Les cathédrales rougies des maîtres caustiques Chantent avec vous sur des refrains homériques Bénissez les matraques, car l'enclume a faim.