Ce qu’il faut avant tout prévoir, c’est l’imprévu L’imprévu impossible comme une effroyable douleur. Dans l’accélération de ce monde torpeur Il faut admettre que l’extraordinaire est bienvenu.
La sémantique se complique dans la providence Est-ce une prédiction d’un fait survenu ? Dans les règles incertaines des idées préconçues Comme un caractère fantasque d’une chance.
Quel intéressant problème devenant conjecture intellectuelle D’un probable présent, s’intéresser à l’avenir et au passé. Dans la tyrannie sans objectivité des termes phrasés Les faits deviennent idées scientifiques personnelles.
L’affaire de la providence devient donc l’imprévu Dans les vocalises ambitieuses philosophiques. Tout un programme de non-sens à contre-sens technologiques Cachés derrière des statistiques de phénomènes parvenus.
Et le bonheur! Se trouve-t-il dans l’imprévu ou la providenc Cette vague émotionnelle faite de ressentiments redoutés L’enivrement lorsque la raison s’affole et l’esprit désappoi Libère de son carcan la douceur subjective de l’attirance.