Là bas sous l’éclair Tu ne te laisses pas faire Là-bas sous la chute d’eau Tu hurles à l’oubli du désir Là-bas sous les jours du non Tu te souviens De l’écran de tes fureurs Et jamais tu ne t’abandonnes A la source rieuse Jamais tu ne laisses Courir le vent Sur tes paupières closes Jamais tu ne prononces Le nom de l’aimé Et moi, là-bas, Dans le vent de l’orage Je ris de toi.