Dans les cieux tout là-haut, j’ai vu deux âmes fuir Elles planaient à deux voguant en hautes sphères, Et le monde à leurs pieds qui tournait à l’envers Eclatait en furie faisant fuser son ire !
L’azur était bien sombre et semblait délétère Au loin, on devinait le chaos émerger, L’univers n’était plus qu’un petit bout d’enfer, Et le soleil alors se mit à tout brûler.
Le silence infini scella sa décadence Et la terre, aveuglée de brandons et d’éclairs, Révéla en son sein des vibrations intenses Quand le volcan du jour explosa de colère.
Suprême et magistral, le récital des cieux Et la nature autour semblant être aux aguets… …C’est en apothéos’ qu’alors dans un hoquet, L’orage vint noyer le chapiteau des Dieux !