Malgré le temps qui court, je ne peux t’oublier, Allant par les chemins, les routes et les sentes, Rôdant dans les sous-bois, en plein cœur de Juillet, Galopant près de moi, au cœur de la tourmente. Unis du seul regard de la complicité : Etonnant privilège où, l’amitié naissante, Redonnant à ma vie un sens inféodé, Imprima, dans mon cœur, nos silhouettes lentes : Toi l’animal fidèle et moi le prisonnier Ecoutant, à jamais, tes appels qui me hantent.