Verdoyante et fleurie, le vent y caracole, En ta pure nostalgie, tu invites au repos, Nichant dans tes sous-bois, les pies font les folles, Dans tes cieux, se reflète la gloire de tes flots, Ecoutant ta chanson rayonnante immortelle, Entendant ta prière lancinante éternelle.
Parfumée aux embruns, tu guètes ma venue, Irisée, éblouie, tu te jettes dans les nues, Tes lèvres sont des rubis, tes yeux des émeraudes, Ton front, un diadème de saphir qui minaude Où le ciel se reflète en sa longue bleue robe. De Rayons de soleil, en arc-en-ciel lumineux, En parcourant tes plages et tes dunes des yeux, Sache que mon doux coeur à jamais est le tien, Qu'il suffit d'un baiser pour demander ma main ; Une tendre pensée vers toi toujours m'emmène, Eternelle Vendée tu es celle que j'aime.