Jaune et orange se mélangeant. Se montre lentement. D'une douceur tombante subtilement. Elles se lassent de leurs verdoyante. Posées sans un bruit. Évanouissante est l'ennui. Du soleil caché par le ciel gris. Au sol desséché. Le brunissement. Début de l'enclavement. Signe la fin. Déshabillé de son accoutumance. Viens alors régner le silence. Dans sa nudité. Elles se plongent toutes à ses pieds. Sentir ce fait le froid. Sur la haute cime du bois. D'un air somnolent. Il parvint à se satisfaire du temps. Des courants d'air craquants. Il enfouit consciemment. En la Terre sa conscience. Tout en remerciement. Pour regagner ces belles endormies. Au doux chant de la pie. Endormis après minuit. Le temps de l'hiver. Tout recouvert. Se souvient l'oiseau noir et blanc. Comme la neige immaculant. La pie se préparant. Volant en esquivant les belles somnolentes. L'arrivée du froid glaçant. Qui lui s'immisça doucement. En son plumage d'été. Il ne se fit plus prier. Se dépêcher est la priorité. Manger, voler, stocker. Avant son arrivée.